Trois-Rivières, 18 octobre 2018

Communiqué de presse

Lien interrives de La GabelleÉtude de la circulation : mieux comprendre pour mieux intervenir

Afin de nourrir sa réflexion, le comité de travail sur la sécurité sur le lien interrives de La Gabelle a décidé de se doter d’un outil essentiel à son mandat : une étude de la circulation assortie de mesures de sécurité temporaires.

Le lien interrives sera donc rouvert temporairement à la circulation des automobiles, des VTT et des chevaux pendant trois semaines uniquement, soit du lundi 22 octobre à 6 h au vendredi 9 novembre 2018 à 18 h. Après cette période, le lien interrives sera de nouveau fermé à la circulation des automobiles, des VTT et des chevaux, puisque les travaux résiduels liés au projet de réfection du mécanisme de levage se poursuivent.

Pour assurer la sécurité des utilisateurs du lien interrives, des mesures temporaires de sécurité seront mises en place pendant la durée de l’étude de la circulation : ajout de glissières en béton de type Jersey, de cônes oranges, de dos d’âne sur le lien et à son entrée, en plus d’une escorte routière et de signaleurs lorsque les travailleurs d’Hydro-Québec seront présents.

Cette étude vise à nous permettre de mieux comprendre les déplacements et la fluidité de la circulation dans chaque sens pour mieux intervenir. Diverses informations seront recueillies pendant cette étude : nombre de véhicules qui empruntent le lien, heure de passage, type de véhicule, origine et destination des utilisateurs et la raison de leur traversée. Aux abords du lien interrives, des sondeurs poseront six courtes questions aux utilisateurs. Dès le 22 octobre, il sera également possible de répondre à ces questions en ligne au www.hydroquebec.com/gabelle.

Grâce à un portrait factuel et récent des déplacements sur le lien interrives et de leurs impacts sur la sécurité de tous les utilisateurs, le comité sera à même de poursuivre son analyse de la situation dans le but de trouver des solutions viables.

Le comité remercie les utilisateurs de leur collaboration. Chacun est invité à adopter des comportements sécuritaires en circulant aux abords du lien interrives de La Gabelle.

Rappelons que le comité de travail est composé des municipalités de Saint-Étienne-des-Grès et de Notre-Dame-du-Mont-Carmel, de la Sûreté du Québec et d’Hydro-Québec.

 

Source : Comité de travail sur la sécurité au lien interrives de La Gabelle


Numéro dédié aux médias :
819 691-6052

Foire aux questions

Bien que certaines conditions soient effectivement différentes, l’étude apportera des informations pertinentes sur les déplacements sur le lien interrives. Ces données nous fourniront un portrait factuel à jour de la situation.

Durant les trois semaines que durera l’étude de la circulation, des mesures de sécurité temporaires seront mises en place : ajout de glissières en béton de type Jersey, de cônes oranges, de dos d’âne, en plus d’une escorte routière et de signaleurs lorsque les travailleurs d’Hydro-Québec seront présents. Ces mesures visent à canaliser la circulation des piétons et des cyclistes et à resserrer l’espace de circulation des automobiles pour assurer la sécurité de tous les utilisateurs.

L’objectif ultime demeure le même : trouver une solution qui garantira la sécurité des employés d’Hydro-Québec ainsi que de tous les utilisateurs du lien interrives de La Gabelle. Cette cohabitation sécuritaire est primordiale et demeure le but premier de notre réflexion.
Le comité de travail a pris l’engagement de ne pas rouvrir le lien interrives de façon permanente tant et aussi longtemps qu’il n’aurait pas trouvé de solutions viables. L’étude de la circulation est un outil dont nous avons besoin pour prendre une décision à plus long terme. Mieux comprendre les déplacements est nécessaire pour mieux intervenir.

Il ne s’agit pas d’un test. Le but des mesures de sécurité temporaires mises en place pendant l’étude de la circulation est d’assurer la protection des employés d’Hydro-Québec et de tous les utilisateurs du lien interrives. Aucune décision n’a encore été prise quant à l’adoption ou non de ces mesures comme solution viable.

La situation sur laquelle nous nous penchons est complexe. Si une solution simple pouvait permettre de corriger le tir, elle serait déjà en place. Le comité de travail a convenu de prendre le temps nécessaire à la réalisation de son mandat, qui est d’analyser les moyens possibles qui permettront d’éviter la récurrence des accidents sur le lien interrives.

Étant donné que les données recueillies dans le cadre de l’étude constituent un outil d’analyse sur lequel le comité s’appuiera pour prendre ses décisions, les conclusions de l’étude seront uniquement communiquées au comité.

Nous ne pouvons pas nous prononcer sur cette question et nous ne voulons pas émettre d’hypothèses avant d’avoir terminé notre travail. Nous nous sommes engagés à prendre le temps nécessaire pour analyser la situation et trouver des solutions viables. Nous avançons dans notre réflexion. La tenue d’une étude de la circulation constitue un pas de plus dans la compréhension de la situation. Nous sommes conscients des attentes des utilisateurs. Ils seront informés de la décision du comité au moment opportun.

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